On cour, on s'envole, emporter par la mélodie du vent...
Le coeur s'emballe, bat la chamade,
repousse la rose rouge sang qui s'agripe et me lacere au fil du temps....
Le monde s'accelerent, et m'oublie dans mon univers,
m'asphyxiant dans ce miel aux cents milles couleurs,
repoussant ces spectre noir qui souhaiterai ma mort....
Puis, emporter par la vitesse,
Sans oxigene, aveugle, et sourd,
On fini par s'ecraser brutalement sur la vie...
Nous brisant de part et d'autre, en simple debrit inerte...
laisant l'ombre reprendre le dessus,
Laissant cette rose nous lacerer..
Oubliant qui nous somme...
herant loin des hommes..
Ni mort, ni vivant j'entame la redescente vers mon enfers
Que je n'ai jamais quitter finalement...
Je susi enchainer par les mot..
Enchaine par ce que je pense de moi
Et sa ne changera pas comme sa....
un vieux piano usé ou à dépouissièré
et le coeur d'une rose, oh ! sur lui déposé.
douce mélodie endormie sera t'elle réveillé
par la melodie du vent qui coure dans le présent
pressé peut être est elle ? cette mélodie,et pourtant
c'est si bon de touver ,de prendre le temps
loin du trop vite parfois où le monde va !!
et cette fleur ,oh ! cette rose dame
est douce ,sans epine ou le regard infame
mi ange ou bien démon à pas vraiment savoir
et ce piano en blanc et noir
cette photo ici postée
m'aura fait glisser par ici
cett' impro-rime d'un début d'après midi
A+ d' Emmanuel